Le souffle court, les yeux embués de larmes, j'apprends
L'impression de perdre pied, les poings serrés, impossible à réaliser
Comme un cauchemar morbide, nos convictions pulvérisées, une vengeance tant désirée
Pris dans la violence de l'instant, tétanisé.e, glacé.e par le moment Les jambes tremblantes, je chancelle
Mais les amis sont là, solidarité dans l'émoi
Une presse de rapaces, ces charognards profitant du cauchemar Contraste entre leurs mots et ton absence, palpable, déchirante Rassemblements désincarnés, donnant de toi une image erronée